Arnaud VALDENAIRE

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Arnaud VALDENAIRE

Spécialité : Archéologie égyptienne.

Année du diplôme : 2004.

Si vous deviez définir l’École du Louvre en 3 mots ? 

Enrichissement (des savoirs), Stimulation, Regard(s).

Un(e) enseignant(e) ayant marqué votre scolarité ?

Thierry Crépin-Leblond, professeur d’histoire générale de l’art de la Renaissance, qui m’a transmis un intérêt fort pour une période dont je ne connaissais pas grand chose sortant du lycée et notamment une envie de visiter la ville de Florence, où j’ai ensuite habité quelques années plus tard.

Une oeuvre coup de coeur durant votre scolarité ?

Justement, en parlant de Renaissance, c’est Le Christ à la colonne d’Antonello da Messine, présentée dans la Grande Galerie du Louvre, qui a toujours provoqué en moi une grande émotion esthétique.

Votre parcours depuis votre départ de l'École du Louvre en quelques mots ? 

À la suite du premier cycle de l’École du Louvre, j’ai obtenu une Licence 3 en archéologie, puis un Master I en égyptologie à l’Université de Paris IV-Sorbonne. C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que le monde de la recherche n’était pas pour moi et que j’ai opéré un virage en effectuant le deuxième cycle de l’École du Louvre en me spécialisant en médiation culturelle.

C’est alors que j’ai développé un goût à travailler dans des monuments associant patrimoine et collections d’œuvres d’art (comme le Palazzo Vecchio à Florence, le domaine de Chantilly, le Clos-Lucé à Amboise, etc.) afin de transmettre des savoirs et surtout de « raconter des histoires » aux visiteurs.

Quelles sont actuellement vos missions au Château-Musée municipal de Nemours ?

Actuellement directeur du Château-Musée municipal de Nemours, je cultive une passion pour le commissariat d’expositions et reste à l’écoute des attentes des publics en terme de nouvelles expériences de visites, convaincu par l’apport du numérique dans le monde des musées. 

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous pour les jeunes diplômé(e)s ? 

Plusieurs conseils à vous donner : tenter des expériences professionnelles à l’étranger, développer votre pratique des langues, s’ouvrir à plusieurs domaines en plus de l’histoire de l’art ou de la muséologie (communication, marketing, architecture, archéologie, etc.). pour développer ses compétences et trouver des débouchés professionnels.

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